Beaucoup de murs du centre ville couverts de propos haineux anti-français d'un autre âge, d'une vulgarité et d'une discrimination n'ayant rien à envier aux intégrismes les plus extrêmes.
L'absence rapide d'intervention des services publics pour remédier à cette situation (même s'il s'agit de supports relevant de propriétés privées), comme c'est généralement le cas dans les collectivités soucieuses du bien vivre ensemble, interroge tout antant que les auteurs de ces écrits, dont le niveau intellectuel ne dépasse pas celui des talibans en Afghanistan.